Florence + The Machine : « Ceremonials »
Variété, qualité et même quantité : la pop éclairée de Florence + The Machine revient.
Il n’y a aucun mal à aimer les albums de 20 pistes pleins de pop diva et d’un goût pour la grandiloquence. En sachant cela, vous n’aurez aucune honte à apprécier ce “Ceremonials”. Il est certes long, et pourtant l’album n’ennuie pas : ce qui le fait fonctionner n’est pas juste le large registre vocal de Florence, c’est le sens aïgu du dynamisme et de la variation que le groupe utilise à chaque chanson. On trouve l’esprit d’Aretha Franklin sur ‘Lover To Lover’ et, la piste suivante, nous sommes plongés dans une vision d’Arcade Fire à un autre niveau sur ‘No Light, No Light’. Malgré quelques moments de creux ici et là, l’expérience générale est en effet captivante.
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